Rezultatul alegrilor în filială (14.04 2018)
Hace 7 años
miércoles, 25 de noviembre de 2009
martes, 24 de noviembre de 2009
Eugen Ionescu
http://ro.wikipedia.org/wiki/Eugen_Ionescu
Eugen Ionescu (n. 26 noiembrie (13 noiembrie, pe stil vechi) 1909, Slatina - d. 28 martie 1994, Paris; cunoscut în afara României sub numele de Eugène Ionesco, conform ortografiei franceze) a fost un scriitor de limbă franceză originar din România, protagonist al teatrului absurdului şi membru al Academiei Franceze (fotoliul nr. 6). Obişnuia să declare că s-a născut în anul 1912, ori din pură cochetărie, ori din dorinţa de a crea o legătură între naşterea lui şi cea a marelui său precursor Ion Luca Caragiale.
ANUL EUGEN IONESCU
Cu ocazia centenarului naşterii scriitorului, în anul 2009 opera lui Eugen Ionescu va fi celebrată în mod oficial în întreaga lume, la propunerea României şi a ambasadorului ţării noastre la UNESCO, criticul literar profesor Nicolae Manolescu. Autorului îi vor fi consacrate numeroase manifestări culturale atât în ţară cât mai ales în străinătate.
Cu această ocazie, fiica sa Marie-France Ionesco, posesoare a drepturilor de autor, domiciliată la Paris, a protestat puternic împotriva prezentării lui Eugen Ionescu drept autor român, argumentând că toate piesele sale au fost scrise în limba franceză. Vezi şi articolul din Evenimentul Zilei la adresa:
http://www.evz.ro/articole/detalii-articol/856478/Romanitatea-lui-Ionesco.
domingo, 22 de noviembre de 2009
De-ar fi sa vii
Ma-ntreb chiar si acum unde esti
Ce sa fac cum sa-ti spun ca-mi lipsesti
Fiindca tu ai ales cel dintai
N-am stiut cum sa-ti spun mai ramai
Cum se duc si se duc clipele
Cum rasar si apun stelele
De-as avea un crampei dintr-o zi
Ti-las da poate cand vei veni
De-ar fi sa vii as crede ca visez
De-ar fi sa vii ce ne-am mai spune oare
Si cum sa speri
Ca voi mai fi cea de ieri
Eu nu te-am uitat dar vezi
Te-am ratacit prin gand
De-ar fi sa vii as crede ca visez
Mi-as aminti ce dor mi-a fost de tine
Si te-as ierta oricat de greu ar parea
Doar de nu ma vei iubi
Atunci mai bine nu veni
Cum se duc si se duc clipele
Cum rasar si apun stelele
De-as avea un crampei dintr-o zi
Ti-las da poate cand vei veni
De-ar fi sa vii as crede ca visez
De-ar fi sa vii ce ne-am mai spune oare
Si cum sa speri
Ca voi mai fi cea de ieri
Eu nu te-am uitat dar vezi te-am ratacit prin gand
De-ar fi sa vii as crede ca visez
Mi-as aminti ce dor mi-a fost de tine
Si te-as ierta oricat de greu ar parea
Doar de nu ma vei iubi atunci mai bine nu venï
Taraf de Haïdouks
Référence: http://fr.wikipedia.org/wiki/Taraf_de_Ha%C3%AFdouks
Taraf de Haïdouks est un ensemble musical de Roms de Roumanie, originaire de Clejani. Il est le plus célèbre groupe du genre dans l'ère post-communiste.
Ils sont connus dans leur pays d'origine sous le nom de Taraful Haiducilor, qui veut dire à peu près bande de brigands, mais taraf est aussi le nom traditionnel des groupes de lăutaris (musiciens tziganes roumains). Haiduc ou haïdouk est un terme turc signifiant bandit, en roumain, ce mot a une connotation vieillotte. Le nom du groupe est connu internationalement sous sa forme francisée sans construction génitive « Taraf de Haïdouks ».
Le groupe s'est formé en 1990 peu après la chute du dictateur Nicolae Ceauşescu. La formation initiale comptait une douzaine de musiciens ; mais par la suite, l'effectif a occasionnellement augmenté jusqu'à une trentaine. Les premiers contacts avec l'Europe occidentale se sont faits grâce à l'ethnomusicologue suisse Laurent Aubert, puis grâce à Stéphane Karo et Michel Winter, deux musiciens belges qui, enthousiasmés par la musique du groupe, se sont improvisés managers, ont fait jouer le Taraf de Haïdouks en Europe de l'Ouest et ont contribué à lancer la carrière internationale du groupe, dont ils s'occupent encore à ce jour.
Depuis la parution de son premier album chez Crammed Discs en 1991, et sa participation à Latcho Drom (le fameux film de Tony Gatlif), le Taraf de Haïdouks s’est imposé comme un groupe emblématique, qui symbolise la merveilleuse vitalité de la musique tsigane des Balkans. Le groupe a multiplié les collaborations : concerts avec le Kronos Quartet au Royal Festival Hall de Londres, participation (en tant que mannequins/musiciens) aux défilés du styliste Yohji Yamamoto, présence dans les bandes-son de films tels que “Terminus Paradis” de Lucian Pintilie ou “Train de vie” de Radu Mihaileanu, et apparition remarquée à l’écran (aux côtés de Johnny Depp et Christina Ricci) dans “The Man Who Cried”, le film de la réalisatrice britannique Sally Potter dont ils signent également une partie de la musique. En 2007, ils participent à la Folle Journée de Nantes, pour illustrer "l'Harmonie des Peuples", thème du célèbre festival cette année-là. Les membres du groupe semblent traverser toute cette agitation en conservant leur sens de l’humour et leur philosophie de la vie. Ils résident toujours dans leur modeste village de Clejani, au cœur de la campagne valaque.
Taraf de Haïdouks est un ensemble musical de Roms de Roumanie, originaire de Clejani. Il est le plus célèbre groupe du genre dans l'ère post-communiste.
Ils sont connus dans leur pays d'origine sous le nom de Taraful Haiducilor, qui veut dire à peu près bande de brigands, mais taraf est aussi le nom traditionnel des groupes de lăutaris (musiciens tziganes roumains). Haiduc ou haïdouk est un terme turc signifiant bandit, en roumain, ce mot a une connotation vieillotte. Le nom du groupe est connu internationalement sous sa forme francisée sans construction génitive « Taraf de Haïdouks ».
Le groupe s'est formé en 1990 peu après la chute du dictateur Nicolae Ceauşescu. La formation initiale comptait une douzaine de musiciens ; mais par la suite, l'effectif a occasionnellement augmenté jusqu'à une trentaine. Les premiers contacts avec l'Europe occidentale se sont faits grâce à l'ethnomusicologue suisse Laurent Aubert, puis grâce à Stéphane Karo et Michel Winter, deux musiciens belges qui, enthousiasmés par la musique du groupe, se sont improvisés managers, ont fait jouer le Taraf de Haïdouks en Europe de l'Ouest et ont contribué à lancer la carrière internationale du groupe, dont ils s'occupent encore à ce jour.
Depuis la parution de son premier album chez Crammed Discs en 1991, et sa participation à Latcho Drom (le fameux film de Tony Gatlif), le Taraf de Haïdouks s’est imposé comme un groupe emblématique, qui symbolise la merveilleuse vitalité de la musique tsigane des Balkans. Le groupe a multiplié les collaborations : concerts avec le Kronos Quartet au Royal Festival Hall de Londres, participation (en tant que mannequins/musiciens) aux défilés du styliste Yohji Yamamoto, présence dans les bandes-son de films tels que “Terminus Paradis” de Lucian Pintilie ou “Train de vie” de Radu Mihaileanu, et apparition remarquée à l’écran (aux côtés de Johnny Depp et Christina Ricci) dans “The Man Who Cried”, le film de la réalisatrice britannique Sally Potter dont ils signent également une partie de la musique. En 2007, ils participent à la Folle Journée de Nantes, pour illustrer "l'Harmonie des Peuples", thème du célèbre festival cette année-là. Les membres du groupe semblent traverser toute cette agitation en conservant leur sens de l’humour et leur philosophie de la vie. Ils résident toujours dans leur modeste village de Clejani, au cœur de la campagne valaque.
The Zero Department
Source: unknown
We face contradictory records, nevertheless, these records speak out and cannot and should not be ignored. In the past, Ceausescu, the supreme leader of the armed forces has ordered the foundation of a new department inside the existing State Security Agency (“Securitate”).
The Zero Department was established with the sole purpose of identifying, educating and developing subjects with beyond-average, above normal special qualities.
From this point of view, the 1966 presidential decree banning abortion should be interpreted as a method of accelerated evolution, with all the state-controlled orphanages functioning as laboratories and artificial selection centres.
Nobody knew how Ceausescu would use the new psychotronic special ops force. The new department studying and experimenting on subjects with special faculties was initially established with the purpose to ward off any possible enemies, to intercept and eliminate internal and external aggressors and for the purpose of resolving international conflicts. Subsequently this department was engaged in developing the means of manipulating and to influence the popular masses, ensuring the maintenance of the dictatorial power.
Recent discoveries throwing new light on the Sinaia Lead Plates are indubitable proof in favour of our conclusion regarding the existence of psychotronic weapons in former and present times. They indicate the fact that mind control with the help of faked documents has old origins, leading to the establishment of a national state, in the last part of the XIX century.
We face contradictory records, nevertheless, these records speak out and cannot and should not be ignored. In the past, Ceausescu, the supreme leader of the armed forces has ordered the foundation of a new department inside the existing State Security Agency (“Securitate”).
The Zero Department was established with the sole purpose of identifying, educating and developing subjects with beyond-average, above normal special qualities.
From this point of view, the 1966 presidential decree banning abortion should be interpreted as a method of accelerated evolution, with all the state-controlled orphanages functioning as laboratories and artificial selection centres.
Nobody knew how Ceausescu would use the new psychotronic special ops force. The new department studying and experimenting on subjects with special faculties was initially established with the purpose to ward off any possible enemies, to intercept and eliminate internal and external aggressors and for the purpose of resolving international conflicts. Subsequently this department was engaged in developing the means of manipulating and to influence the popular masses, ensuring the maintenance of the dictatorial power.
Recent discoveries throwing new light on the Sinaia Lead Plates are indubitable proof in favour of our conclusion regarding the existence of psychotronic weapons in former and present times. They indicate the fact that mind control with the help of faked documents has old origins, leading to the establishment of a national state, in the last part of the XIX century.
Ombladon - "Noapte buna Bucuresti"
Tu nu vezi, daca inchizi ochii te pierzi
Totul se schimba-n jurul tau pana apuci sa te-asezi
Si vezi, ca prin viata asta doar o data treci
Deci pe unde mergi profita pana pleci (x2)
Oameni saraci ce-au incetat sa spere
Gropi in asfalt, blocuri intregi de garsoniere
Totu-i de (???) ciudat care te ineaca incet
Mai coloreaza decorul bagabontii din colt
In rest gratii la geam, bodegi jegoase si baruri
Tarfe jucate si pierdute la zaruri
Miroase-a saracie si foame in continuare
Pustanii isi baga-n vene bine-ascunsi dupa betoane
E un lux sa ai unde sa stai si-o stii
Multe familii sarace toarna copii ca prostii
Si continua goana dupa lei
Batrani pagani tarasc sticla de rom spurcat dupa ei
Ei sunt cei ce vor sa-ncerce, amarul sa inece
Timpul le trece, fireste , te lasa rece
Tramvaiele jegoase se retrag in noapte
Deci luminile s-au stins...Noapte Buna Bucuresti!
Refren (x2)
In colturi de blocuri: drogati, seringi, gunoaie
Copii jegosi, batrani uzati de timp, s-aprind lumini...bling-bling
Surprind copii cersind
Masini furate care se dau la preturi de nimic
E ca in ring, tre' sa stai in garda,
Garda-i gata sa te arda
E caz de targa daca te toarna cu iarba
E oarba justitia, e oarba politia,
E oarba orice privire ce nu vrea sa vada ca in graba
In Bucuresti totul dispare (Cum oare?)
Atentie la buzunare si la alarma din parcare
Blocurile murdare azi sunt singura scapare
Sa nu sfarsesti in strada calcat de altii in picioare
Sunt cartiere intregi din care nu mai poti sa iesi
Cand pleci esti in p##a goala, cu banii luati si ochii reci
Deci, ai grija unde mergi, sa te feresti
Micul Paris s-a stins...Noapte Buna Bucuresti!
Refren (x4)
Tu nu vezi...
Tu nu vezï...
viernes, 20 de noviembre de 2009
Primeras impresiones
Pensando en el 20 aniversario de la caída de Ceausescu, y con el Día de la Constitución Española tan cerca, no puedo dejar de preguntarme cómo habrían sido las cosas aquí en España si a Franco lo hubieran ejecutado de esa forma.
En fin, supongo que son simples quimeras. ¿Había tanto odio en el pueblo hacia él? Actualmente, es imposible saberlo con certeza.
Es cierto que a ambos "conducatores" les une el hecho de haber parasitado y parodiado un sistema, pero de signo absolutamente opuesto... ¡y con el mismo final!
Un régimen que se autodefinía como nacional-sindicalista y otro socialista. ¿Y después? Dos transiciones, pacífica una y """revolucionaria""" otra, con el mismo destino: capitalismo democrático. Corrupción velada en uno, corrupción descarada en otro.
Aunque, ahora que lo pienso... ¿qué hay del intento de golpe de Estado del 23-F? ¿No fue eso, también, encaminado a provocar un sentimiento de """revolución""" que justificara el papel del Rey como conductor de la Transición?
En fin, intentaré ordenar mis ideas y seguir trazando puentes entre ambos países tan separados entre sí como las dos caras de un espejo.
¡Un saludo!
En fin, supongo que son simples quimeras. ¿Había tanto odio en el pueblo hacia él? Actualmente, es imposible saberlo con certeza.
Es cierto que a ambos "conducatores" les une el hecho de haber parasitado y parodiado un sistema, pero de signo absolutamente opuesto... ¡y con el mismo final!
Un régimen que se autodefinía como nacional-sindicalista y otro socialista. ¿Y después? Dos transiciones, pacífica una y """revolucionaria""" otra, con el mismo destino: capitalismo democrático. Corrupción velada en uno, corrupción descarada en otro.
Aunque, ahora que lo pienso... ¿qué hay del intento de golpe de Estado del 23-F? ¿No fue eso, también, encaminado a provocar un sentimiento de """revolución""" que justificara el papel del Rey como conductor de la Transición?
En fin, intentaré ordenar mis ideas y seguir trazando puentes entre ambos países tan separados entre sí como las dos caras de un espejo.
¡Un saludo!
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